Cette métaphore est destinée aux enseignants pour illustrer l'importance de guider le long du chemin, sachant qu'ils vont s'égarer à plusieurs reprises. Les enseignants aident leurs étudiants à rester concentrés, ils accélérent l'apprentissage des élèves en les ramenant constamment sur la bonne voie, tout en ayant confiance en leur capacité à trouver leur propre chemin.
Alors que Milton Erickson n'avait que quinze ans, il s'amusait avec un camarade à la ferme de son père. Un cheval égaré apparut soudain sur les terres familiales. Sans hésitation, Milton s'approcha de l'animal, et d'un geste sûr, il monta sur son dos, prêt à découvrir où cette aventure le mènerait.
Son copain lui dit :
« Que fais-tu sur ce cheval ? Tu ne le connais pas ! Ce peut être très dangereux ! »
Milton répondit avec un sourire :
« Oui, c’est vrai, mais je suis curieux. »
Le cheval commença à trotter sur la petite route, mais rapidement il se dirigea vers le fossé pour brouter de l’herbe. Milton, avec une grande douceur et beaucoup de respect, ramena le cheval sur la route. Peu après, l’animal galopa de l’autre côté de la route, vers un autre fossé. Erickson, toujours patient, le ramena calmement sur le chemin. Ils marchèrent ainsi pendant une quinzaine de minutes, le cheval s’égarant de temps en temps, et Milton le ramenant inlassablement sur la route.
La promenade dura quelques heures. À un moment, ils arrivèrent à une croisée des chemins. Soudain, le cheval se mit à galoper à vive allure, et bientôt ils arrivèrent devant une ferme. Le cheval s'immobilisa devant un vieux cultivateur. L’homme leva la tête et s'exclama :
« C’est formidable, c’est merveilleux ! C’est mon cheval ! Comment as-tu su que c’était le mien ? »
Milton, avec un regard malicieux, répondit :
« Ce n’est pas moi qui le savais. C’est le cheval. »
à
ans.
à
à
minutes
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Cette métaphore est destinée aux enseignants pour illustrer l'importance de guider le long du chemin, sachant qu'ils vont s'égarer à plusieurs reprises. Les enseignants aident leurs étudiants à rester concentrés, ils accélérent l'apprentissage des élèves en les ramenant constamment sur la bonne voie, tout en ayant confiance en leur capacité à trouver leur propre chemin.
Alors que Milton Erickson n'avait que quinze ans, il s'amusait avec un camarade à la ferme de son père. Un cheval égaré apparut soudain sur les terres familiales. Sans hésitation, Milton s'approcha de l'animal, et d'un geste sûr, il monta sur son dos, prêt à découvrir où cette aventure le mènerait.
Son copain lui dit :
« Que fais-tu sur ce cheval ? Tu ne le connais pas ! Ce peut être très dangereux ! »
Milton répondit avec un sourire :
« Oui, c’est vrai, mais je suis curieux. »
Le cheval commença à trotter sur la petite route, mais rapidement il se dirigea vers le fossé pour brouter de l’herbe. Milton, avec une grande douceur et beaucoup de respect, ramena le cheval sur la route. Peu après, l’animal galopa de l’autre côté de la route, vers un autre fossé. Erickson, toujours patient, le ramena calmement sur le chemin. Ils marchèrent ainsi pendant une quinzaine de minutes, le cheval s’égarant de temps en temps, et Milton le ramenant inlassablement sur la route.
La promenade dura quelques heures. À un moment, ils arrivèrent à une croisée des chemins. Soudain, le cheval se mit à galoper à vive allure, et bientôt ils arrivèrent devant une ferme. Le cheval s'immobilisa devant un vieux cultivateur. L’homme leva la tête et s'exclama :
« C’est formidable, c’est merveilleux ! C’est mon cheval ! Comment as-tu su que c’était le mien ? »
Milton, avec un regard malicieux, répondit :
« Ce n’est pas moi qui le savais. C’est le cheval. »
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