À 21 ans, Stephen Hawking apprit qu'il ne lui restait plus que deux ans et demi à vivre. Le diagnostic du médecin était accablant : maladie des neurones moteurs. Un jour, Stephen se rendit compte qu'il avait de plus en plus de mal à nouer ses lacets. Il se cognait aussi de plus en plus souvent aux objets. Pourtant, il s'efforçait de ne pas en tenir compte et de vivre comme si de rien n'était.
Rentré chez lui pour Noël, ses parents remarquèrent que quelque chose n'allait pas. Pensant qu'il avait attrapé un virus, ils lui firent passer des examens de santé. Le verdict tomba, terrible : Stephen souffrait d'une sclérose plus connue sous le nom de « maladie des neurones moteurs ». Cette affection rare et incurable touche les nerfs et les parties du cerveau qui commandent les mouvements volontaires.
En d'autres termes, Stephen serait bientôt paralysé et on ne lui donnait plus que deux ans à vivre. Il s'enferma dans sa chambre, écouta Wagner, se demandant sans cesse : "Pourquoi cela m'arrive-t-il à moi ?" Désespéré, il se renferma sur lui-même et attendit la mort. Mais il parvint à surmonter sa dépression et à lutter chaque jour un peu plus contre la paralysie qui le rongeait.
Non seulement Stephen défia la mort et la repoussa année après année pendant plus de 40 ans, mais il devint unanimement reconnu comme le meilleur dans son domaine. Son génie mathématique demeurant intact, il entreprit de révolutionner la cosmologie, c'est-à-dire l'étude de l'univers. À 51 ans, Stephen Hawking, dont l'ouvrage « Une brève histoire du temps » battit des records de vente en librairie, était un inlassable globe-trotter malgré son fauteuil roulant. Il est également considéré comme l'un des plus grands savants de notre époque. Chaque jour, pendant plus de 40 ans, ce véritable génie lutta pied à pied contre la mort. Que se serait-il passé s'il avait continué à attendre la mort ?
à
ans.
à
à
minutes
Résilience et persévérance
À 21 ans, Stephen Hawking apprit qu'il ne lui restait plus que deux ans et demi à vivre. Le diagnostic du médecin était accablant : maladie des neurones moteurs. Un jour, Stephen se rendit compte qu'il avait de plus en plus de mal à nouer ses lacets. Il se cognait aussi de plus en plus souvent aux objets. Pourtant, il s'efforçait de ne pas en tenir compte et de vivre comme si de rien n'était.
Rentré chez lui pour Noël, ses parents remarquèrent que quelque chose n'allait pas. Pensant qu'il avait attrapé un virus, ils lui firent passer des examens de santé. Le verdict tomba, terrible : Stephen souffrait d'une sclérose plus connue sous le nom de « maladie des neurones moteurs ». Cette affection rare et incurable touche les nerfs et les parties du cerveau qui commandent les mouvements volontaires.
En d'autres termes, Stephen serait bientôt paralysé et on ne lui donnait plus que deux ans à vivre. Il s'enferma dans sa chambre, écouta Wagner, se demandant sans cesse : "Pourquoi cela m'arrive-t-il à moi ?" Désespéré, il se renferma sur lui-même et attendit la mort. Mais il parvint à surmonter sa dépression et à lutter chaque jour un peu plus contre la paralysie qui le rongeait.
Non seulement Stephen défia la mort et la repoussa année après année pendant plus de 40 ans, mais il devint unanimement reconnu comme le meilleur dans son domaine. Son génie mathématique demeurant intact, il entreprit de révolutionner la cosmologie, c'est-à-dire l'étude de l'univers. À 51 ans, Stephen Hawking, dont l'ouvrage « Une brève histoire du temps » battit des records de vente en librairie, était un inlassable globe-trotter malgré son fauteuil roulant. Il est également considéré comme l'un des plus grands savants de notre époque. Chaque jour, pendant plus de 40 ans, ce véritable génie lutta pied à pied contre la mort. Que se serait-il passé s'il avait continué à attendre la mort ?
à
ans.
à
à
minutes
Résilience et persévérance